Les sujets ouvert par El Coyotos page 35

Projection du film documentaire incident à oglala

En solidarité avec les Commémorations à Oglala 2014 (Réserve Sioux-lakota de Pine Ridge) et dans le cadre de la Journée internationale de solidarité avec le prisonnier politique amérindiens, Leonard Peltier

Le Comité de solidarité avec les Amérindiens des Amériques (CSIA-Nitassinan) / Groupe de soutien à Leonard Peltier, affilié à l'International Leonard Peltier Defense Committee (ILPDC), l'association Terre et Liberté pour Arauco et De La Plume à l'Écran

vous invitent à venir nombreuses et nombreux à la projection du film documentaire

INCIDENT A OGLALA Documentaire de Michaël Apted, produit et narré par Robert Redford, sur le cas du prisonnier politique amérindiens emblématique, LEONARD PELTIER, membre de l'American Indian Movement (AIM), incarcéré aux USA depuis 1976.

Le 26 JUIN 2014 - à 19h
Au Cinéma LA CLEF
34 rue Daubenton, Paris 5e
(Métro : Censier)

Cette projection sera accompagnée d'une lecture de textes de Leonard Peltier par la comédienne et metteur en scène, ELSA SOLAL (auteure de Leonard Peltier : Non au massacre du peuple Amérindiens - Collection : Ceux qui ont dit non - éditions Actes Sud), d'une exposition de peintures originales et lithographies d'œuvres réalisées en prison par Leonard Peltier et d'un point d'information sur sa situation et la campagne pour sa libération.

Paf. 8 euros / tarifs réduits : 6 euros

«Amnesty International considère Leonard Peltier comme un prisonnier politique dont les recours pour obtenir une réparation légale ont tous été épuisés. Le gouvernement des États-Unis a rejeté à plusieurs reprises les demandes d'un réexamen officiel. Amnesty International reconnait qu'un nouveau procès n'est plus une option possible et est convaincu que Peltier devrait être libéré immédiatement et sans condition.»

Film the activist la cause amérindienne revisitée et ravivée

Film The Activist la cause amérindienne revisitée et ravivée

De Cyril Morin (Etats-Unis), avec Chadwick Brown, Tonantzin Carmelo, Michael Spears, Ron Rogge - Sortie : 11 juin 2014

Synopsis

Fin février 1973, pendant l'insurrection de Wounded Knee, Marvin et Bud, deux activistes indiens, sont mis en détention. Anna, la femme de Marvin, est morte quelques mois plus tôt dans un accident. Marvin est dévasté et Bud soutient son ami dans cette épreuve. Mais en prison, ils doivent faire face à la menace des deux policiers qui les surveillent et collaborer avec la jeune avocate chargée du dossier. Pour quelles raisons reçoivent-ils la visite d'un conseiller de Nixon ? D'un sénateur ? D'une star hollywoodienne ? Quel est le rôle du président dans cette affaire ? Et quel est ce secret que détenait Anna avant de mourir ? En ces années 70, où le monde bouge, la tension monte petit à petit dans ce poste de police éloigné de tout...

Bande annonce

Traumatisme

Etrangement, Cyril Morin, Américain qui vit entre Los Angeles et Paris, déclare que la cause indienne est mieux connue en France qu'aux Etats-Unis. Refoulement du génocide, à l'origine d'une grande nation ? Sans doute. Ce traumatisme génocidaire fait pourtant partie de la mythologie westernienne, des romans à deux sous, puis du cinéma, pour se terminer dans les westerns "crépusculaires" tels "Soldat bleu", "Un homme nommé Cheva", "Jeremiah Johnson" et surtout le sublime "Little Big Man", voire "Danse avec les loups".

L'épisode de Wounded Knee est peut-être moins connu en France, quand une poignée d'indiens a tenu tête aux autorités américaines pendant 71 jours sur des montagnes sacrées du Dakota, pour faire valoir leurs droits à l'administration Nixon. Une situation qui faisait suite à moult traités non honorés, foulés du pied, par des gouvernances successives et des corruptions manipulées de l'intérieur. "The Activist" donne une bonne piqûre de rappel sur cette revendication politique toujours d'actualité sur un ton rappelant le cinéma politique américain des années 70 ("Les Hommes du président", "Les Trois jours du Condor", "Conversations secrètes", "A cause d'un assassinat"…).

Tilly-sur-seulles rend hommage aux indiens comanches

Tilly-sur-Seulles rend hommage aux indiens Comanche

Une délégation composée d'une quinzaine de représentants de cette tribu passera la semaine dans cette commune du Calvados pour commémorer le soixante dixième anniversaire du débarquement. En 1944, les Comanche ont joué un rôle crucial, encore largement méconnu.

Qui sait que l'armée américaine a fait appel aux Amérindiens pour tromper l'ennemi ? Qui sait que le message annonçant le débarquement des GI's à Utah Beach a été transmis en langue Comanche ? Pendant la seconde guerre mondiale, l'Oncle Sam s'était en effet appuyé sur la culture ancestrale des tribus indiennes, dont les langues ne pouvaient pas être traduites par les Allemands, pas plus que par les Japonnais. Des "code talkers" ont donc été formés pour être envoyés sur les théâtres d'opérations. Les Navajo ont transmis des messages pendant la guerre du Pacifique. Les Comanche sont venus en Normandie.

" Tsaakù nttnnuwee. Atahtu nùnnuwee" We make a good landing. We landed at the wrong place [Le débarquement se passe bien. Nous avons débarqué au mauvais endroit] : c'est donc ainsi que l'Etat-Major a été informé du déroulement des opérations à Utah Beach. Soixante dix ans plus tard, une délégation Comanche reviendra sur les lieux, à l'invitation des musées d'Utah Beach et de Tilly-sur-Seulle. C'est le fruit d'un long travail engagé l'année dernière.

47 degres ce 6 juin a death valley

Plus de 47 degrés ce 3 juin à Death Valley !

Joëlle rostkowski et l'art des indiens galerie orenda

Si vous êtes sur paris, ne manquez pas de visiter la galerie orenda de joëlle rostkowski.

Son gout pour les cultures lointaines lui vient de son père, collectionneur de peintures post-impressionnistes. Elle a très vite compris que sa vie prendrait un accent "Internationale"! Iran Afghanistan, Inde, Amérique, Europe, Joëlle Rostkowski à énormément voyagé. Elle se passionne très vite pour l'art contemporain et pour l'ouest américain - principalement la place qu'occupe l'art amérindiens.

Elle publie des articles et des livres autour du sujet : Les Amérindiens dans l'histoire américaine (Armand Colin, 1996) ; Voix Amérindiennes, voix américaines (Albin Michel, 2003), Amérique du Nord, arts premiers (Albin Michel, 2006).

Avec son mari elle fonde en 2008 la galerie Orenda un lieu d'échanges où se croisent des artistes de tous les horizons. Orenda accueille jusqu'au 10 juillet l'exposition "Rythmes et couleurs de l'Amérique Amérindiensne" de Tony Abeyta et Brenda Kingery.

GALERIE O R E N D A
54 rue de Verneuil
75007 PARIS.

Ouverture du mercredi au samedi de 14h30 à 19h00
et le mardi uniquement sur rendez vous.